dimanche 25 avril 2021

 

Une interprétation audacieuse du fascisme par Georges FELTIN-TRACOL




Patron du « Libre-Journal des Européens » un mardi sur quatre en semaine C de 21 h 30 à 23 h 00 à Radio Courtoisie, président – fondateur du Parti des Européens et animateur engagé sur YouTube, Thomas Ferrier étudie l’histoire du fascisme en Europe dans un ouvrage dense sur le fond et succinct (un peu trop ?) sur la forme.

Il intègre sous ce terme l’ensemble des mouvements politiques européennes entre 1918 et 1945, y compris le national-socialisme allemand. Il complète son (assez) courte étude par trois annexes sur les relations entre le paganisme et le national-socialisme, les symboles fascistes et le mésusage par l’hitlérisme du mot « Aryen ». Ainsi Thomas Ferrier observe-t-il que le fascisme « idéal » se manifeste en une profusion de fascismes historiques, car « ce qui modifie le fascisme idéal en un fascisme historique, c’est le contexte politique et le contexte national (p. 91) ».

Au-delà du socialisme

L’auteur apporte cependant un éclairage aujourd’hui largement occulté : « Le fascisme puise ses racines dans la tradition européenne, et a été l’aboutissement sous la forme d’une synthèse nouvelle de nombreux thèmes antérieurs (pp. 5 – 6). » Au risque de choquer une opinion publique moutonnière, il est patent que « la triade Machiavel – Voltaire – Nietzsche est un des fondements idéologiques du fascisme (p. 35) ». Il ajoute même que « le fascisme est un des héritiers de la Révolution française de 1789 (p. 29) ». Syncope générale au Grand Orient de France et chez Vincent Peillon !

De ce constat fort peu historiquement correct, il s’interroge sur la complexité originelle du national-socialisme allemand. Celui d’Adolf Hitler qui dirigea l’Allemagne une douzaine d’années associait un pangermanisme dément, un antisémitisme forcené et une slavophobie exacerbée. Héritier indirect des socialistes révolutionnaires français Auguste Chirac, Alphonse Toussenel et de Benoît Malon, « l’antisémitisme fasciste est essentiellement issue de la gauche, mais de celle du XIXe siècle (p. 19) ».


Thomas Ferrier avance par exemple que « le national-socialisme d’Hitler est un authentique mouvement socialiste et de gauche mais qui, pour des raisons politiques, a laissé partiellement son programme en suspens en attendant de pouvoir l’imposer intégralement (p. 73) ». Les premiers mois de l’après-Première Guerre mondiale demeurent d’ailleurs assez obscurs pour Adolf Hitler. Avant d’être retourné (ou de changer de camp au bon moment) et de devenir un officier de renseignement politique, le futur Führer « semble bien avoir brièvement fait partie de la SPD, la social-démocratie allemande, dans sa frange la plus révolutionnaire, proche de la USPD [NDLR – EM : les socialistes indépendants à l’origine du mouvement spartakiste]. En effet, il était selon toute vraisemblance garde rouge à Munich en 1918 et il aurait même assisté aux funérailles du dirigeant socialiste Kurt Eisner (p. 71) ».

Cette information renforce le parallélisme entre Adolf Hitler et Benito Mussolini dans leur formation initiale socialiste-révolutionnaire. Thomas Ferrier assume que sa « grille de lecture […] consiste à prendre au sérieux la dimension socialiste du fascisme (p. 5) ». « En tant que socialisme communautaire, le fascisme met l’accent sur l’intérêt général en même temps que sur l’identité propre à cette communauté (p. 25). » Joue ici la polysémie du vocable « communauté ». Le fascisme s’inscrit dans trois catégories de communautés éventuellement rivales : l’État, la race ou bien la priorité accordée à la question sociale, ce qui se traduit par le syndicalisme national. Toutefois, hors du fait national-syndicaliste, le fascisme demeure « également un nationalisme mais révolutionnaire (p. 14) ».

Thomas Ferrier évoque par conséquent un socialisme national idéal articulé autour d’un socialisme non marxiste et non collectiviste, d’un nationalisme ethnique revendiqué, d’une conception « res-publicaine » des institutions publiques, d’une démocratie autoritaire, directe et organique, de l’écologie radicale et d’une spiritualité païenne – polythéiste. Présenté ainsi, le socialisme national ou « le fascisme se distingue profondément de l’extrême droite.

 http://www.europemaxima.com/une-interpretation-audacieuse-du-fascisme-par-georges-feltin-tracol/

jeudi 15 avril 2021


 C'est officiel, l'élection législative partielle dans la 1ère circonscription de l'Oise aura lieu le 30 mai.


Candidat à plusieurs reprises sur cette circonscription pour la droite nationale, je le serai de nouveau. Avec un programme simple résumé en un slogan : « Ni dictature sanitaire, ni colonisation migratoire ! »


Toutes les bonnes volontés seront les bienvenues pour m'aider à faire campagne.


Thomas Joly - Président du Parti de la France

jeudi 8 avril 2021

Communiqué de l'Alliance Forteresse Europe

Les 20 et 21 avril 2019 s’était tenu à Sofia, en Bulgarie, un congrès nationaliste européen réunissant les organisations suivantes : Български Haционален Съюз / Union Nationale Bulgare (Bulgarie), Die Rechte / La Droite (Allemagne), Les Nationalistes (France), Légió Hungaria / Légion Hongroise (Hongrie), Národní a sociální fronta / Front National et Social (République Tchèque) et Szturm / Assaut (Pologne). À l’issue de leurs travaux, elles ont convenu de la nécessité de poursuivre et approfondir leurs relations et surtout d’organiser leur collaboration. Ainsi est née l’Alliance Forteresse Europe !

L’organisation vient de se doter d’un canal Telegram afin de communiquer en direction de tous les Européens de bonne souche qui veulent défendre leurs droits d’autochtones sur leur terre d’Europe. Rejoignez-nous :

 

Alliance Forteresse Europe :

t.me/ForteresseEurope

 

 

Parce que partout en Europe, la disparition de nos traditions, la submersion de nos populations, la violation de nos institutions sont les mêmes, il nous faut, dans chacune de nos vieilles nations, organiser selon notre propre génie la riposte. Le combat est total, global, mondial, l’ennemi ne connait ni les peuples ni les frontières. À nous de travailler ensemble pour préparer la renaissance de nos Patries millénaires. La France est un territoire, pas un terrain de camping, un visage, pas un masque de carnaval, un drapeau, pas un pavillon de complaisance, et il en est de même pour chacun de nos pays. Loin d’être les derniers d’hier, nous sommes les premiers de demain. L’Europe est notre forteresse, alors, de l’Atlantique à l’Oural, tous aux créneaux pour la défendre !