samedi 22 avril 2017

VOTER MARINE LE PEN?

Principe de base, à Terre et Peuple : nous considérons que les membres de notre Mouvement sont adultes et vaccinés, conscients des enjeux et donc libres de prendre, en conscience, la décision de voter (ou de ne pas voter) pour le candidat ou la candidate de leur choix. Nous nous interdisons d’influencer leur décision, car ce serait manquer de respect et de considération à leur égard.

Ceci étant il est normal que des amis se posent la question (sans me le dire) concernant mon point de vue. Je veux y répondre, étant bien entendu que ma réflexion n’engage que moi (d’autant qu’elle peut avoir, j’en suis bien conscient, des conséquences à plus ou moins long terme d’une grande gravité et que je ne veux en aucune manière faire porter à d’autres que moi les conséquences de mes choix).

Donc…

Marine Le Pen a eu à l’égard de son père une conduite indigne et détestable. Elle a installé dans son entourage proche des gens qui, pour diverses raisons, ne méritent de notre part qu’un profond mépris. Elle a choisi de donner des gages au Système, pour se faire accepter par lui, qui vont à l’encontre de nos convictions et de nos fidélités.

Cela fait beaucoup. Mais…

Au-delà de la personnalité de Marine Le Pen et des gens qui l’entourent, l’important est le phénomène politique qu’elle incarne. A savoir une vague, un tsunami de révolte populaire constitué de plusieurs millions d’électeurs. Des électeurs qui n’ont pas la culture historico-politique permettant de savoir qui est vraiment Marine Le Pen mais qui reportent sur elle une volonté et un espoir, qu’il faut résumer d’une formule simple (car elle exprime une vérité profonde) : non aux immigrés-envahisseurs, non à la mort programmée de la France et de son peuple. Tout le reste n’est que littérature.

A partir de là (pour ceux qui ont lu Machiavel c’est une évidence) il faut contribuer à cette mise en accusation du Système (peu importe son artificialité, car elle sera perçue ainsi) qu’exprimera le vote en faveur de Marine Le Pen. Lequel suscitera l’union sacrée, pour défendre leurs prébendes, de tous les politiciens de gauche et de droite. Ce qui, logiquement (mais la logique n’est pas forcément déterminante en politique…) devrait conduire à l’échec de Marine Le Pen. Lequel laissera chez ses électeurs, qui tomberont de haut, une amertume, une rancœur propices à nourrir un esprit de révolte. Et les rendra mûrs pour entendre un discours radical, proposant d’autres solutions que la voie, trafiquée, des urnes. Et alors beaucoup de choses deviennent possibles… Serions-nous en 1788 ?

                                                                                   Pierre VIAL


vendredi 21 avril 2017

1er tour des présidentielles, nous choisissons de ne pas choisir… Par Yvan Benedetti

Nous arrivons – enfin !!! – au terme de cette trop longue campagne présidentielle durant laquelle nous avons eu droit tout de même à quatre élections de primaires qui n’ont finalement pas servi à grand-chose puisque leurs résultats ont été remis en cause autant par les perdants que par les circonstances judiciaires.

Avant d’aborder le vote de dimanche à proprement parler, il convient de rappeler toutes les réserves que nous avons pour cette forme élective qui est la cause du plus grand des désordres et des plus grandes gabegies financières. La survie du système est à ce prix, l’élection étant la tare mais aussi la sauvegarde du régime. Tout au long de cette campagne nous n’avons eu de cesse de conseiller d’adopter le recul nécessaire afin de ne pas se laisser happer par le tourbillon médiatique. Ces campagnes électorales sont des moments de sidération collective qui permettent au système de maintenir le peuple sous influence via une opinion publique que l’on manipule à coup de sondages quotidiens et d’affrontements politiciens qui obligent les candidats formatés par des agences de communication à la surenchère. La formule est connue, « les promesses n’engagent que ceux qui y croient ». Pour notre part nous n’avons jamais cru aux balivernes démocratiques, d’autant moins que nous savons que ce ne sont pas les élus qui décident mais leurs financiers et qu’ils sont soumis à des forces plus ou moins occultes bien supérieures qui siègent dans les loges, les commissions internationales, les conseils d’administration, les banques ou la Synagogue… Nous savons que le problème n’est pas dans la personnalité et les qualités du personnel politique mais dans le Système lui-même qui n’est pas réformable. À chaque élection les cornichons changent mais le bocal reste. Les élections passent, les votes s’entassent et les problèmes persistent et s’enveniment. Nous sommes pour le principe d’Autorité qui s’oppose à l’élection. D’autant plus que démocratie et immigration de masse forment un mélange instable et très détonnant. La loi du nombre exige de se regrouper et de se compter pour peser et encourage donc le communautarisme source de tensions et d’affrontements. À l’horizon s’amoncellent les nuages sombres percés d’éclairs qui sont annonciateurs de gros orages. Face à cela ces élections semblent bien dérisoires. Mais elles sont là et il convient de fixer nos positions.

Nous ne blâmerons jamais ceux qui ont des besoins urnatoires. Les élections ont souvent tendance à rendre fous ceux qui les pratiquent un peu trop assidument. Certains du mouvement national vont voter Fillon. Nous ne parlerons pas de son élégance vestimentaire ; ni de sa posture de Monsieur propre de la droite parlementaire, alors qu’après quarante ans de carrière, il en a adopté tous les usages et toutes les tares ; mais il est celui qui fut le bon petit soldat de la politique oligarchique de Sarkozy. Tout comme MM. Goasguen ou Estrosi, il est de ceux qui sont les plus soumis au sionisme. Refusant de remettre en question le carcan européiste, il est le parfait représentant de cette hyperclasse mondialisée tendance grande bourgeoisie qui fait de la politique pour défendre ses intérêts et s’en va à confesse pour se faire pardonner, là où Macron est l’autre parfait représentant de cette même hyperclasse, tendance bobo qui fait aussi de la politique pour défendre ses intérêts de classe mais en croyant à un monde sans frontière, sans race, sans sexe et sans religion – si ce n’est la religion Shoatique bien sûr. Voter Fillon, nous ne pouvons comprendre !

La grande majorité du camp national qui vote, le fera pour Marine Le Pen. Ils le font non pour ce qu’elle est, mais pour ce qu’elle représente ou pour ce qu’ils pensent qu’elle incarne, cette image déformée et diabolisée que lui renvoient les médiats. Derrière la Le Pen, il y a un formidable courant populaire formé par tous ces Français qui souffrent, qui refusent la loi de l’étranger et qui veulent redevenir maitres chez eux et rétablir la France. Il ne faut pas désespérer le Français de souche. Voter Le Pen, nous pouvons le comprendre !

Mais à l’heure où un homme de quatre-vingt un ans est obligé de fuir son pays pour éviter la prison ou un autre, père de neuf enfants, est contraint à l’exil pour délit de pensée, à l’heure où d’autres encore sont condamnés à de la prison ferme et à des dizaine de milliers d’euros d’amendes pour pensées non-conformes, comme votre serviteur, la Le Pen refuse encore et toujours la suppression de la loi Gayssot et défend le maintien des lois liberticides. À l’heure où notre peuple est menacé de génocide ethnique et de disparition sous l’effet conjugué de l’invasion migratoire et de l’avortement de masse, elle refuse de défendre une politique d’inversion migratoire et d’abolir la loi Veil. D’une façon générale, Marine Le Pen avec sa dédiabolisation persiste dans sa politique de soumission et de dépendance de la France à la tyrannie du judaïsme politique et laisse le secrétaire général de son mouvement se prosterner à Yad Vashem. L’axiome électoral dicte qu’au 1er tour on choisit et qu’au 2nd on élimine. Et bien au 2nd tour nous verrons et prendrons une décision au regard de la situation politique issue des résultats de dimanche soir. Mais au 1er tour nous choisissons de ne pas choisir… Ou plutôt nous choisissons de ne pas cautionner par notre nom, celle qui considère que les nationalistes n’ont pas leur place dans un front national et qui a ouvert en grand les portes du mouvement à la coterie homosexuelle et gaullienne. Nous ne serons jamais les harkis du mouvement national, nous qui sommes à l’avant-garde du réveil des identités et des nations.

Yvan Benedetti

jeudi 20 avril 2017

Le MNR vote pour Fillon

Communiqué du MNR du 18 avril 2017
Election présidentielle : éliminer la gauche au premier tour


Le MNR attire l’attention des électeurs sur le fait que l’issue du scrutin présidentiel se joue au premier tour, le 23 avril prochain. Il est donc essentiel d’écarter du second tour Macron et Mélenchon représentants de la gauche immigrationniste et mondialiste.

Marine Le Pen étant assurée d’être qualifiée pour le second tour, le MNR invite les Français à assurer la présence de François Fillon au second tour. Un vote responsable qui créera une configuration sans risque pour notre pays et par ailleurs électoralement plus favorable pour la candidate du FN.

Ce vote responsable est celui qui garantit le mieux la défense de notre nation et de son identité.

http://mouvement-national06.blogspot.fr/2017/04/le-mnr-vote-pour-fillon.html?m=1

dimanche 16 avril 2017

NON, la France n'était pas à Londres. Quelques précisions s'imposent...


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Professeur Alain Rouet

La polémique ouverte par Marine au sujet de « la rafle du Vel’ d’Hiv’ » ayant montré des abysses d’inculture chez tous les protagonistes, un petit tour de piste historique semble s’imposer…

Un imposteur nommé De Gaulle
Marine reprend la vieille antienne gaulliste d’une « France » qui se serait retrouvée à Londres incarnée par une nouvelle Jeanne d’Arc étoilée… Sa médiocrité militaire l’ayant limité, à 50 ans, au grade de Colonel, De Gaulle finit par être nommé général 2 étoiles « à titre provisoire » lors de sa nomination au poste de sous secrétaire à la Guerre dans l’ultime gouvernement Reynaud. A l’armistice – après s’être assuré qu’aucune fonction ne lui était réservée dans le nouveau gouvernement – il s’envole directement pour Londres. Qu’il y ait emporté « la France » entre ses chaussettes et son caleçon ne relève que de sa mégalomanie. Si Londres abrite en effet des « gouvernements en exil » reconnus comme tels, notamment par les Britanniques, tel n’est pas le cas du bureau londonien de l’obscur De Gaulle ! Toutes les puissances, y compris le Royaume-Uni, reconnaissent la légalité de l’Etat français, seul représentant de « la France ».

N’ont rejoint le « général à titre provisoire » que quelques excités d’extrême-droite (venus notamment de la Cagoule) et une groupe de juifs (« J’attendais l’Eglise, j’ai reçu la Synagogue »). Nombre de ces derniers s’illustreront plus dans les appels aux meurtres de Radio-Londres que dans des activités parachutistes (voir l’inénarrable « équipée » de Maurice Schumann…). Non seulement De Gaulle n’est pas reconnu comme représentant « la France » mais est tenu pour un pitre aussi bien par Churchill que par Roosevelt. Après le débarquement en Afrique du Nord (novembre 1942) les Alliés (qui n’ont même pas prévenu De Gaulle de l’opération !) choisissent l’Amiral Darlan, Dauphin du Maréchal Pétain, comme représentant de « la France libérée ». De Gaulle le fait assassiner. Ils choisissent ensuite le Général Giraud qui résistera… à De Gaulle… jusqu’en 1944. Après avoir tenté de le faire assassiner De Gaulle parvient enfin à l’éliminer politiquement.

C’est seulement à partir de 1943 que De Gaulle est reconnu… par Staline… nouant ainsi la vieille complicité gaullo-communiste qui perdurera jusqu’en 1968 où le PC "F" sauvera encore la mise du grand homme… Sur les insistances de Staline, et toute solution de rechange ayant été éliminée, parfois physiquement, c’est seulement en 1944 que De Gaulle sera enfin « reconnu ».
Entre temps les réseaux de Résistance se sont montés sans qu’il y soit pour grand-chose, l’activité des « gaullistes » servant surtout à les récupérer. Quant aux troupes françaises qui reprendront la lutte contre l’Allemagne, les FFL gaullistes y sont ultra-minoritaires. Les gros bataillons sont fournis par l’Armée d’Afrique, pétainiste et giraudistes… Dans les faits le Général Micro a surtout servi sa propre propagande.

Une collaboration « ni franche, ni loyale »
Quant à l’Etat français sa « collaboration » ne vise point à aider les Allemands mais les Français. Elle n’est ni franche, ni loyale, mais consiste à discuter avec l’Occupant pour lui en accorder le moins possible. Il existe certes des « ultras » de la collaboration désireux d’œuvrer à la victoire du Reich. Ils ne sont pas à Vichy mais à Paris (l’activité des partis est interdite en zone libre) ! Et ils ne cessent de critiquer Vichy pour sa mollesse, sa tiédeur, son caractère rétif…
En quelque sorte le programme de Pétain est de « Défendre les Français »… à l’instar d’une des premières affiches du Front national de Jean-Marie Le Pen…
Concernant les Juifs la législation de Vichy se limite strictement aux Lois Alibert, promulguées dès juillet 1940. Ces Lois sont purement économiques, interdisant aux Juifs certains secteurs économiques et limitant leur nombre, par numerus clausus (2%), dans la Médecine et le Barreau. Toutes les autres dispositions les visant (comme le port de l’étoile à partir de 1942) résultent d’ordonnances allemandes n’ayant pas cours en zone libre.
Plus généralement il ne faudrait pas oublier que les Allemands ne sont pas de simples invités n’agissant poliment qu’après autorisation de leur hôte ! Un seul des pays occupés par l’Allemagne a été administré directement par elle : la Pologne. Qui osera prétendre que la vie y fût plus douce et le sort des juifs bien meilleur ?

Des juifs dans la collaboration
En Région parisienne des rafles ont eu lieu dès la fin 1941, organisées par les autorités allemandes sans même que Vichy en soit préalablement informé. Et il ne s’agissait pas de « raflettes » puisqu’elles portèrent sur plus de 4.000 individus.
Ce sont les Allemands qui imposent la « grande Rafle » de juillet 1942, et nullement Vichy qui aurait pris cette initiative ! Se posait simplement un problème de « souveraineté » : qui commanderait les forces de police chargées d’y procéder ? L’Etat français se serait-il porté aux abonnés absents que cette rafle aurait quand même eu lieu.
Ses préparatifs durèrent une bonne quinzaine de jours avec divers participants dont l’UGIF. L’UGIF, c’est l’Union Générale des Israélites de France, en quelque sorte l’ancêtre du CRIF… Une « minorité visible » dont nous gratifie LCI a ouvert son Journal sur « les 14.000 Français juifs » de la Rafle. Or celle-ci - après discussions (la politique de Vichy, comme d’ailleurs celle de l’UGIF, consistant à protéger d’abord les Français juifs) - ne porte QUE sur des juifs étrangers : apatrides, allemands, autrichiens, tchèques, polonais, russes… ! Et parmi ceux-ci sont exonérés les porteurs de cartes de l’UGIF et… les fourreurs et leurs familles. Ces derniers travaillent en effet à fournir des vêtements bien chauds pour le Front de l’Est. Le Vel’ d’Hiv résonne de noms priés de se présenter à l’entrée : ce sont ceux d’ouvriers en confection que leurs chefs d’Atelier sont venus tirer de ce guêpier. Eux aussi fabriquent des uniformes, apportant leur modeste, mais rétribuée, contribution à l’effort de guerre allemand…

La plupart des raflés sont transférés au camp de rétention de Drancy. Il est certes contrôlé par les Allemands mais largement auto-administré. Il y a notamment un médecin-chef, juif, chargé d’examiner les prépuces pour établir indéniablement la qualité de juif… Nos procureurs médiatiques devraient bien connaître son histoire puisque ses descendants font carrière à la télévision… Quant au directeur juif il participe naturellement à l’élaboration des listes de déportation.
On reconnaîtra bien volontiers que l’UGIF, les fourreurs, les ouvriers en confection, le directeur du camp et peut-être même le médecin-chef, n’avaient peut-être pas tout à fait le choix... mais les goys l’avaient-ils plus ?

jeudi 13 avril 2017

ALERTE ! ALERTE ! ALERTE !

MELENCHON: DANGER COMMUNISTE 

Contrairement à ce qui est raconté dans les médias, Jean Luc Mélenchon n'est pas un gentil démocrate.

C'est un dangereux communiste qui a pour projet de renverser la 5e république !

Alors oui, il est aujourd'hui à 18% dans les sondages, et demain?

N'attendons pas qu'il soit au 2eme tour pour crier au loup, il sera trop tard..

Ouvrons les yeux à nos concitoyens, Mélenchon ne doit pas passer!

Il faut, plus que jamais, dénoncer les crimes du communisme (100 millions de morts).

Il faut dire, haut et fort, que nous voulons rester libres, indépendants, et français .

Mélenchon veut accueillir encore plus d'immigrés, c'est un internationaliste.

Mélenchon veut nous enfermer dans une idéologie sectaire, qui tuera notre mode vie "gaulois".

Mélenchon est un danger pour notre civilisation chrétienne, c'est un laïcard de la pire espèce.

Votez contre Mélenchon, c'est voter contre quelqu'un qui a comme modèle; Hugo Chávez et Fidel Castro.

Votez anti-communiste !

Pour une France libre et fière de son identité !

Le comité de vigilance anti-communiste
http://comite-vigilance-ac.blogspot.fr/2017/04/melenchon-danger-communiste.html?m=1