samedi 25 septembre 2021

AntiFA, prends garde à toi !

Violents, bêtes et méchants, ils le sont assurément. Les antifas ne se résument malheureusement pas qu’à ça. Derrière leurs exactions, se cache de petits kapos, au service des puissants. Ce qui leur octroie une certaine protection, pour le moment.

A vrai dire, leur principal fonction est de s’en prendre à nos manifestations. A Nantes, lors d’un récent rassemblement anti-pass sanitaire, un groupe s’est attaqué à quelques militants pacifiques et catholiques venus défiler. Les images parlent d’elles-mêmes, des racailles de banlieues n’auraient pas mieux fait. Pourtant, il faut bien le préciser, les antifas sont de bons petits blancs, parfois même issus des beaux quartiers. Clément Méric, pour ne citer que le plus célèbre d’entre eux, était fils de prof. Alors, pourquoi ont-ils autant de haine envers leurs frères de sang?

Cela peut d’abord s’expliquer sociologiquement.

Depuis 50 ans, la lobotomie a fait son effet. Dès le plus jeune âge, le mâle blanc européen est conditionné. La rééducation nationale fabrique du névrosé prêt à s’auto-flageller, et à haïr ses semblables. L’explosion démographique d’origine africaine étant exponentielle, il faut expliquer à nos petites têtes blondes, que tout celà est « naturel ».

Notons aussi, que ces névrosés sont d’ardents défenseurs de la cause LGBT. A force de déconstruire, on finit par créer des êtres sans repères, sans identité, prêts à défendre les pires déviances de nos sociétés.

Évidemment, ceux qui ont su résister à ce lavage de cerveau, sont aujourd’hui traités de.. Fachos !

Voyons plutôt à quelle fin politique, ils sont employés.

Dans les loges, et les cercles fermés, avoir des marionnettes aussi faciles à manipuler, c’est une aubaine.

Ceux qui tiennent les ficelles, qui les financent (Soros, avec les Femen) s’en servent pour terroriser les braves gens, et imposer leur grand projet: la surveillance généralisée.

Encagoulés, le visage dissimulé, à coup de barre de fer, ils cassent du matériel urbain sans importance, ou quelques vitrines de banques. Une mode d’action parfaitement calculé, filmé par les caméras de télévision, pour en rajouter dans la dramatisation.

Ravager un centre-ville au frais du contribuable, quoi de mieux pour effrayer le bourgeois qui votera par réflexe, pour celui censé le protéger.

Souvenez-vous des Gilets jaunes, qui sont passés d’un mouvement ultra populaire, à une menace pour notre démocratie, juste à cause des casseurs infiltrés.

De Colomb à Darmanin, nos ministres de l’intérieur promettent de terribles sanctions.

Mais, aucune peine de prison, aucune dissolution, rien n’est prononcé. Les Antifas sévissent dans la plus totale impunité, au grand désespoir des forces de l’ordre.

Au-delà de la relative terreur qu’ils suscitent, leur véritable utilité est bien de casser tout soulèvement populaire, toute révolution nationale, pourtant si nécessaire.

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François Le Franc

lundi 13 septembre 2021

13 septembre 1987..

 


Le 13 septembre 1987, Jean-Marie Le Pen est invité au Grand Jury RTL-Le Monde. Alors que la thèse universitaire d’Henri Roques fait polémique, il a convenu de donner une réponse sur le thème de la liberté de recherche. Interrogé à cette occasion à propos des interrogations de plus en plus nombreuses sur l’utilisation par les « nazis » de chambres à gaz homicides, il déclare :


Jean-Marie Le Pen : Je suis passionné par l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale. Je me pose un certain nombre de questions. Je ne dis pas que les chambres à gaz n’ont pas existé. Je n’ai pas pu moi-même en voir. Je n’ai pas étudié spécialement la question. Mais je crois que c’est un point de détail de l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale.

Paul-Jacques Truffaut : Six millions de morts, c’est un point de détail ?

Jean-Marie Le Pen : Six millions de morts ? Comment ?

Paul-Jacques Truffaut : Six millions de Juifs morts pendant la Seconde Guerre mondiale, vous considérez que c’est un point de détail ?

Jean-Marie Le Pen : La question qui a été posée est de savoir comment ces gens ont été tués ou non.

Paul-Jacques Truffaut : Ce n’est pas un point de détail !

Jean-Marie Le Pen : Si, c’est un point de détail de la guerre. Voulez-vous me dire que c’est une vérité révélée à laquelle tout le monde doit croire, que c’est une obligation morale ? Je dis qu’il y a des historiens qui débattent de ces questions.

Paul-Jacques Truffaut : Une immense majorité d’historiens et quelques autres l’ont dit et prouvé.

Olivier Mazerolle : Vous-même, monsieur Le Pen, considérez-vous qu’il y eut un génocide juif par les chambres à gaz ?

Jean-Marie Le Pen : Il y eut beaucoup de morts, des centaines de milliers, peut-être des millions de morts juifs et aussi des gens qui n’étaient pas juifs.



LE PEN: UN HOMME LIBRE