jeudi 19 décembre 2019

Jean-Marie LE PEN vous souhaite un Joyeux Noël ! ❄️

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dimanche 15 décembre 2019


   L’une des caractéristiques de l’oligarchie dirigeante est de pratiquer le déni de réalité. Jamais, les analyses effectuées par les détenteurs du pouvoir politico-médiatique ne désignent, ne nomment le réel tel qu’il est. Or, nommer les choses, les objets, est le fondement de tout ce qui suit.

   Le récit de la Genèse (2, 19-20) précise : « Dieu forma de la terre tous les animaux des champs et tous les oiseaux du ciel, et il les fit venir vers l’homme, pour voir comment il les appellerait, et afin que tout être vivant portât le nom que lui donnerait l’homme ». De même, Confucius avait répondu à son souverain, qui lui demandait comment faire pour rétablir son royaume : « commençons par faire un dictionnaire ». Travestir le sens des mots, c’est semer la confusion, susciter le chaos.

   Depuis longtemps, l’oligarchie régimiste refuse d’appeler les faits, les choses par leur nom, que ce soit par bêtise, par dessein ou par lâcheté. Il n’y a plus d’avortements mais des « interruptions volontaires de grossesse ». Des immigrants illégaux sont des « chances pour la France », l’invasion migratoire, en fait un ethnocide des Français, vulgarisé sous le nom de « grand remplacement », est faux, relève du complotisme, etc.

   Le 2 novembre 2019, à Chanteloup les Vignes (Yvelines), où lors d’émeutes, un incendie criminel a détruit un cirque, Edouard Philippe s’est contenté de tancer  une « petite bande d’imbéciles irresponsables ». En réalité, ce fait divers caractérise un processus belliqueux qui se développe à l‘encontre de la France par des activistes issus de populations d’origine extra-européennes, vivant regroupées dans des quartiers d’où les naturels Français ont quasiment disparu. L’islam en est une composante majeure, sinon le fer de lance, en tant qu’idéologie politico-religieuse de conquête de territoires qui lui échappent jusqu’à présent.

   Pour le moment, il ne s’agit pas à proprement parler de guerre, car pour cela il faut un adversaire qui réponde à l’agression. Ce n’est pas le cas puisque la classe politique régimiste se refuse à admettre cette réalité et bien au contraire la minimise, allant en quelque sorte jusqu’à acheter – pour combien de temps ? – la paix civile en distribuant des milliards de subventions aux banlieues ethniques, milliards qui font défaut dans d’autres domaines, comme l’armée, l’équipement du territoire.

   Dans les villes affectées par ces  guet-apens, le scénario est le même : des individus mettent le feu à des poubelles. Puis les pompiers interviennent avec la police. Ils essuient alors des jets de projectiles, voire des tirs de mortier ou de cocktails Molotov. Les agresseurs se filment, en toute impunité.

   En réalité, nous sommes pour l’instant dans une phase de guérilla sécessionniste, visant à soustraire toujours un peu plus des portions du territoire national à la loi générale. Mais les faits sont là. Il suffit de citer Yassine Belattar, conseiller de Macron qui a crânement déclaré, le 27 octobre 2019 : « Nous, les musulmans, ne sommes pas dans un projet d’assimilation. La France doit s’habituer au fait que nous restons. Si vous ne nous aimez pas, nous avons préparé nos enfants ».

   Quel contraste avec la répression appliquée avec une dureté sans pareille aux naturels Français ! Selon la même pratique d’inversion langagière, la juste révolte des Français est qualifiée d’être une succession de violences, de menées criminelles. Des sévices policiers aux condamnations des tribunaux, la répression régimiste vise à une criminalisation croissante des mouvements sociaux. En effet, l’une des caractéristiques du mouvement des Gilets jaunes, c’est de subir une répression totale et indistincte : policière, judiciaire, administrative. A Paris, le préfet est devenu un acteur central de la répression. Une autre est que la répression vise des personnes aux profils variés : des lycéens de Mantes-la-Jolie (Yvelines), des journalistes interdits de couvrir des manifestations.

   Là, les naturels Français, qui clament légitimement leur mal être dû à la dégradation de leurs conditions d’existence, sont traités comme des criminels : en un an, plus de 3000 Français ont fait l’objet d’une condamnation judiciaire, 24 ont été éborgnés par la répression régimiste. Nous pourrions aussi rappeler comment les défilés de la « Manif pour tous », contre la dénaturation du mariage, ont été sauvagement matraqués en 2013. Il est clair qu’il s’agit d’annihiler toute contestation de la politique de dénaturation de la société et de destruction de la France menée par les gouvernements de leur République, depuis une quarantaine d’années maintenant, de neutraliser les mouvements sociaux et d’empêcher les Français de militer et de manifester, en criminalisant leurs actes. En réalité, c’est une logique antiterroriste qui est appliquée à l’encontre de la révolte des Français. Il ne leur est plus même fait l’honneur, éventuellement, de procès politiques : tout est rapporté au seul droit commun réprimant la délinquance. Là encore, hypocrisie et déni de réalité font bon ménage.

   Que dire des Français non reniés, des nationalistes, en particulier ! Beaucoup sont « fichés S », ce qui signifie qu’ils sont considérés comme des terroristes, à l’égal des islamistes. Pourtant, ce sont les black-block, les « antifa », qui tiennent la rue et pas les nationalistes qui ne disposent d’aucune véritable organisation de défense et se retrouvent désarmés face à ces groupes qui sont objectivement les nervis du régime.

   La France n’est d’ailleurs pas une exception en Europe : partout, les nationalistes et les patriotes sont victimes de la répression de gouvernements d’essence antinationale. En Grèce, exemple parmi d’autres, c’est ainsi que le parti Aube Dorée est qualifié « d’organisation criminelle » et que ses dirigeants menacés de lourdes peines de prison, leurs militants assassinés. Même les morts sont attaqués : en Espagne, le gouvernement du socialiste Sanchez a fait exhumer le général Franco de son tombeau de Valle de los Caïdos, tandis qu’il accueille à bras ouverts les embarcations d’envahisseurs extra-européens.

   L’inversion, le mensonge, le déni de réalité sont devenus la base du discours politique de ces gouvernements qui détruisent nos peuples. En sont emblématiques les propos tenus le 3 novembre 2019, sur RTL, par le sieur Djebbari, sous ministre des transports, qui a déclaré qu’une « France gauloise, blanche, hétérosexuelle …, c’est une France qui n’a jamais existé dans l’histoire ! », avant d’ajouter « Ça me paraît être totalement l’inverse de notre projet. ».

   Voilà qui a le mérite d’être clair : l’inversion, la subversion règnent à tous les niveaux. Plus que jamais, nous devons savoir que ceux qui dirigent la France, et plus largement l’Europe carolingienne sont nos ennemis, les ennemis de la civilisation. Ils sont prêts à toutes les vilenies, toutes les lâchetés, toutes les trahisons pour détruire notre civilisation européenne et chrétienne millénaire, ou plus précisément les pans encore immenses qui demeurent en dépit d’un travail de sape mené au grand jour depuis plus de deux siècles.

   Les nationalistes doivent rester fermes sur les principes qui ont fait la grandeur de la civilisation européenne et de la France : respecter l’ordre naturel, fonder toute réflexion sur une pensée réaliste et non pas nominaliste, garder notre langue, affirmer la métaphysique et les vérités helléno-chrétiennes contre le messianisme talmudique promu par le judaïsme politique et la gnose maçonnique qui en est issue, affirmer la fierté de notre histoire et revendiquer la grandeur de notre race.





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dimanche 8 décembre 2019

C'est insupportable que des syndicats communistes prennent les Français en otages et instaurent la chienlit »

Thomas Joly, Président du Parti de la France, s'exprime sur les blocages de ce 5 décembre.
Pour rappel, le communiqué de Jean-François Touzé, Délégué général du PdF :
Ambigüe, incomplète, inéquitable, bancale, la réforme du système de retraites concoctée par Jean-Paul Delevoye sous l'impulsion à la fois molasse et hasardeuse d'Emmanuel Macron doit être combattue.
Elle doit être combattue parce que la mise en place d'un système par points dont personne ne peut aujourd'hui présumer de la valeur aura inévitablement pour effet d'entraîner une baisse du niveau de retraite de nombreux Français.
Elle doit être combattue parce que le plan Delevoye ne donne aucune assurance quant au financement futur des pensions.
Elle doit être combattue parce qu'elle relève d'une simple velléité comptable et non d'un projet socialement juste, économiquement pérenne et nationalement efficace
L'universalité des retraites et la fin des régimes spéciaux (mais quid des régimes autonomes ?) vont certes dans la bonne direction, mais ces mesures de bon sens et de justice que la droite nationale n'a cessé depuis des décennies de réclamer ne sont mises en avant par le gouvernement que pour masquer le caractère punitif pour de très nombreux Français de la réforme.
Pour autant, les nationaux ne peuvent en aucun cas soutenir le mouvement de grèves massives et attentatoires à nos libertés qui se prépare à partir du 5 décembre. Une fois de plus, Marine Le Pen en prenant le parti des syndicats politisés de gauche et d'extrême gauche se fourvoie, confondant l'accessoire et l'essentiel, et privilégie ce qu'elle croit être sur le court terme son intérêt partisan au détriment de celui, dans la longueur et la profondeur du temps, de la France et des Français.
Les Syndicats rouges, par idéologie autant que par défense de leurs privilèges organisationnels et catégoriels, se préparent à bloquer le Pays et à prendre, une fois de plus, les Français en otages pour une période indéterminée à l'approche de Noël. Pour contrer cette manœuvre inacceptable, le Parti de la France demande que soient prises dès le 5 décembre des mesures de réquisition et appliqué un vrai service minimum dans les transports et les services publics.
Nous demandons aussi que la question vitale de la réforme des retraites soit soumise à référendum (loi constitutionnelle de 1995 étendant le champ référendaire aux questions sociales et économiques) afin que, loin d'être tranché par une classe politicienne et syndicale clanique, le nœud gordien des retraites soit défait par le peuple tout entier.
Si cette réforme devait être rejetée par les Français — et tout porte à croire qu'elle le serait — un plan nouveau, courageux et responsable, de sauvegarde de nos retraites tant sur le plan du niveau des pensions que sur celui du financement du système, excluant les régimes spéciaux, consolidant la répartition tout en permettant la complémentarité volontaire, pourrait, grâce à la légitimation populaire acquise, être adopté dans la concertation dans le cadre législatif.


PARUTION DU LIVRE RELATANT LES 13 ANS DE COMBAT DE SYNTHÈSE NATIONALE

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mercredi 4 décembre 2019

Parti de la France : Carl Lang passe la main

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Jean-Claude Rolinat Présent cliquez là
Créé il y a dix ans par Carl Lang, accompagné d’un certain nombre d’« anciens » fidèles de Jean-Marie Le Pen qui n’acceptaient pas la nouvelle direction du Front national, ni la voie empruntée par celle-ci, le Parti de la France (PDF) tenait samedi à Paris, dans le 9e arrondissement, son 4e congrès statutaire.
A l’ordre du jour, le renouvellement de ses instances dirigeantes. Ambiance particulière, car son Président fondateur, Carl Lang, avait confié qu’il ne souhaitait pas briguer un nouveau mandat, et qu’il voulait faciliter un rajeunissement des cadres. Un coup de « jeunisme », peut-être, pour un petit parti qui se considère comme  le Front National « canal historique ». Il est vrai que le suffrage universel ne l’a pas beaucoup favorisé, surtout par un  manque de moyens financiers.
Sa gestion rigoureuse par la trésorière Myriam Baeckeroot pourrait lui permettre de se réclamer, sans usurpation aucune, du slogan « tête haute et mains propres ». Son implantation militante l’autorise à espérer quelques succès locaux lors des prochaines élections municipales. Car, le point fort de ce mouvement politique, complètement marginalisé sur la scène médiatique, c’est la fidélité de ses militants et responsables locaux, dont la densité de l’implantation varie fortement, bien sûr, d’une région à l’autre.
Trois élus locaux du PdF ont fait part de leur expérience municipale : Alexandre Simonnot, qui s’était illustré dans l’affaire du préservatif géant à Taverny, Christophe Devillers, conseiller municipal de la petite ville de Ronchamp en Haute-Saône, aux prises avec la majorité, et le conseiller Louis Noguès, au Mans, qui donne du fil à retordre au maire PS de la ville, l’ancien ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll.
Une page s’est tournée lorsque les résultats des élections internes ont été communiqués à la salle, où l’on reconnaissait des figures historiques du mouvement national, comme Roger Holeindre, toujours bon pied bon œil - même si le poids des ans se fait sentir -, Michel Bayvet, Fernand Le Rachinel, Christian Baeckeroot, Eric Pinel, Dominique Slabolepszy, Patrick Paumard et j’en oublie…
Il appartenait à Thomas Joly, nouveau Président élu à l’unanimité des participants, de clore les débats, entouré d’une  direction resserrée, avec le jeune Bruno Hirout, délégué départemental du Calvados, qui devient secrétaire général, et l’expérimenté Jean-François Touzé, délégué général, ainsi que Sylvie Lambotte, trésorière.
Le Président a remercié chaleureusement Carl Lang pour tout le travail brillamment accompli, et rappelé les fondamentaux du mouvement sur les questions de société, et sa résistance farouche au « Grand remplacement » qui s’opère dans le pays, sous nos yeux, lentement mais sûrement.
Une amicale passation de témoin, sagement préparée par le Président sortant ,qui entend poursuivre le combat national sous d’autres formes. Une journée studieuse, portée par l’excitation du renouvellement où l’espérance se mêlait, tout naturellement, à un vague sentiment de nostalgie. Une page s’est tournée…