mercredi 16 juillet 2014

la dictature antiraciste franchit un nouveau cap

Christiane Taubira s’est tue quand une Blanche a été violée et battue collectivement par plusieurs Afro-Maghrébins à Évry le 30 mars 2014, comme l’ensemble de la classe politique. Trois mois et demi après les faits, plus aucun média – pour ceux qui en avaient parlé – n’évoque ce crime.

Un silence qui tranche avec la surmédiatisation des persécutions contre l’ancienne tête de liste du Front national (FN) à Rethel Anne-Sophie Leclère qui, pourtant, n’avait que publié sur un compte Facebook peu fréquenté une image à caractère humoristique mettant en scène un singe et Christiane Taubira.

Cette dernière avait feint de ne pas se préoccuper de l’affaire : se plaçant dans une position victimaire chère à son peuple, elle affirmait ne pas « vouloir en faire un feuilleton ». Elle s’était pourtant servie de ce simple visuel pour créer de toutes pièces une affaire aux rebondissements très étudiés : ovation à l’Assemblée antinationale, tribune dans Libération et, bien entendu, une plainte ordonnée par la ministre de la Justice du gouvernement d’occupation via le mouvement antifrançais Walwari à son propre sujet. La séparation des pouvoirs n’est pas le fort du Parti socialiste et de ses alliés. Un Français ne peut pas porter plainte contre un ministre par les voies ordinaires, mais un ministre le peut, avec l’ensemble des moyens du système, pour écraser un citoyen qui refuse l’invasion de sa terre, la destruction de la famille et la décadence de son pays dans une vendetta menée au nom de l’anti-France.

Cette bataille de l’offensive antiraciste s’est achevée hier à Cayenne. Alors que les prétendus faits avaient été commis en métropole, c’est dans le fief de Christiane Taubira, qui en revendique l’indépendance contre la France, que s’est déroulé le procès d’Anne-Sophie Leclère.

Elle a écopé mardi de neuf mois de prison ferme et 5 ans d’inéligibilité et 50.000 euros d’amende.

La violence de cette condamnation est extraordinaire, quand on se souvient qu’en janvier, le violeur d’une handicapée à Nice avait écopé de 6 mois de prison et que cinq hommes ont été relaxés après le viol collectif d’une personne déficiente mentale à Chalais.

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