lundi 30 septembre 2013

L’appel du CLAN: DISSOLUTION ? NON ! RÉVOLUTION NATIONALE !

Ce samedi 28 septembre 2013 avait lieu à Grenoble une grande réunion publique à l’appel du CLAN (Comité de Liaison et d’Aide aux Nationalistes)
 
 
Une conférence de presse précéda cette réunion. Lors de celle-ci, Yvan Benedetti, président de l’Œuvre française, Alexandre Gabriac, président des Jeunesses Nationalistes ainsi qu Maître Pierre-Marie Bonneau, avocat au barreau de Toulouse, ont exposé devant les médiats locaux les mesures de dissolution prises par le pouvoir socialiste à l’encontre de l’Œuvre française et des Jeunesses Nationalistes, ainsi que les recours intentés à l’encontre de ces mesures devant le Conseil d’État. Alexandre Gabriac exprima également la solidarité des nationalistes français avec leurs camarades grecs de l’Aube Dorée, qui subissent eux aussi les foudres de la répression.
 
C’est ensuite dans un autre endroit de la ville que se tint la réunion en elle-même. En effet, c’est dans une grande salle pavoisée aux couleurs de la nouvelle campagne d’affiche du CLAN que plus d’une centaine de personnes venues de toute l’Isère et même d’ailleurs prirent place, au fur et à mesure, tandis que les différents stands, proposant outils militants, magazines, brochures, livres ou encore objets artisanaux, ne désemplissaient pas.
 
 
Les trois même orateurs prirent chacun leur tour la parole, présentés tour à tour par le responsable local, pour des interventions vibrantes, optimistes tout en étant réalistes sur la situation, qui furent ponctuées d’applaudissement par un public alerte et attentif.
 
La réunion fut clôturée par d’un pot de l’amitié, pris autour d’un buffet preparé par des militantes nationalistes, durant lequel l’assemblée put discuter et échanger sur les prochaines actions militantes, les futurs rendez-vous et les perspectives intéressantes que la situation actuelle laissait entrevoir, malgré l’accroissement de la répression, en France comme ailleurs en Europe! Ce fut aussi l’occasion pour ceux qui le souhaitaient de discuter avec les intervenants. Prouvant que si dissolution il y avait, elle restait pour l’instant lettre-morte!
 
Aujourd’hui comme hier, Grenoble est nationaliste !
Qui vive ? France!