jeudi 16 mai 2013

FOUTONS LES DEHORS !

Paris brûle, les magasins, les cars de touristes sont pillés et la bourgeoisie parisienne se terre chez elle...
Une révolution ? non juste le règne de la racaille, si habituel en France.
En effet, après la victoire du Qatar St Germain dans le championnat dit « de France » de Football, les bandes ethniques se déchaînent !
Il ne faut pas s'en inquiéter, Manuel Valls, « notre » ministre va se charger de rétablir l'ordre. Le ministre de l'Intérieur a déjà prouvé qu'il pouvait repousser les terribles opposants au mariage homo qui, rappelons-le, étaient dangereusement équipés de drapeaux Français, de sifflets mais aussi d'enfants blonds en poussettes.
manifestants gazésUne France blanche et catholique pacifique qui brandit le drapeau national tout en s'opposant à la destruction de la famille naturelle ? Les gazages, les matraquages et les arrestations étaient bien justifiés...
Mais là, devant des centaines de pillards excités, armés, cagoulés : on temporise, on discute, on laisse faire.
La préfecture annonce 21 interpellations : espérons que ce ne soit pas les touristes agressés qui auraient osé se défendre.
Dès aujourd'hui, sans aucun doute, les déclarations politiques des uns et des autres seront fortes, sévères, marquantes ! Mais rien ne changera.
http://l3.yimg.com/bt/api/res/1.2/2jn8IYIEDKvmGd2E3VR_XA--/YXBwaWQ9eW5ld3M7cT04NTt3PTYwMA--/http://media.zenfs.com/en_us/News/Reuters/2013-05-13T200604Z_1_APAE94C1JUA00_RTROPTP_2_OFRSP-FRANCE-PSG-INCIDENTS-20130513.JPGLa racaille en baskets, qui aura terrorisé le temps d'une soirée la bourgeoisie parisienne, retournera terroriser les « petits blancs » dans les zones de non droits, jusqu'à la prochaine fois.
La racaille en col blanc, le verbe haut mais la main molle lorsqu'il s'agit de véritables délinquants, dénoncera des « groupes extrémistes », amalgamera et renforcera encore un peu plus son dispositif pour accueillir la manifestation du 26 mai avec des hélicoptères, des canons à eau...
Un épisode supplémentaire dans cette France qui se rapproche un peu plus de la mort chaque jour.
Il est plus que temps de mettre à bas ce système.
 
Alexandre Gabriac